Claire le 07 avril 2020 à 12:36
En 1988, François a fondé le club d’aviron avec Alain Cornut-Gentille, au sein du Club Nautique Caudebecquais, club de voile (dériveurs). Eux seuls savaient ramer, François avait appris en 1969-1971 au club de Rouen, CNAR. En 1971, il a fait la course universitaire en 4 de pointe, à laquelle leur yolette est arrivée 2ème … de 2 yolettes ! J’étais la seule supporter !
En 1988, donc, nous avons acquis 3 ou 4 vieilles yolettes sadac (pelles en bois, colliers en cuir…) et Parenthèse (une barque en bois construite par Alain pour un rameur avec siège roulant, et barreur). Elle n’allait pas vite surtout quand un débutant essayait de ramer.
Mes premières sorties ont été difficiles : Nous faisions une fausse pelle tous les 5 à 10 coups, et nous revenions avec le dessus des mains en sang. Quand nous allions au Pont de Brotonne ou à la statue de Victor Hugo, nous étions ravis ! Heureusement, j’avais un grand plaisir à être sur l’eau, car l’aspect glisse était plutôt un peu brutal. Un rameur (Jean-Pierre) a atterri sur les genoux de celui qui était derrière lui… Notre 1ère grande sortie a été jusqu’à la petite cale de la Mailleraye, j’étais en 4 de pointe avec François N et sa fille Chloé !
Dans les années 90, nos enfants ados ramaient presque tous, c’était très familial. Les 3 nôtres (Guillaume, Etienne et Damien), ceux de François N (Chloé et Martin), les 2 filles de Daniel et Pascale (qui habitent près du club) et d’autres jeunes de Caudebec, puis les enfants de Martine et de Marie-Sylvie…
Mes plus beaux souvenirs de glisses d’aviron : le tour du golfe du Morbihan en plein courant et la première remontée Honfleur-Caudebec en partant de la plage d’Honfleur en moins de 3h par marée de 120… et aussi avec une « championne américaine » en stage d’arts au musée de Caudebec, qui m’a appris la glisse et la technique, et la transpiration !
François a adoré l’embarquement sur la plage d’Honfleur en début de marée montante (nous étions plus haut que la Seine, avec une cascade au rail entre la plage et la Seine), la bucolique descente de la Risle et les 4 ou 5 traversées de Paris.
En 1988, François a fondé le club d’aviron avec Alain Cornut-Gentille, au sein du Club Nautique Caudebecquais, club de voile (dériveurs). Eux seuls savaient ramer, François avait appris en 1969-1971 au club de Rouen, CNAR. En 1971, il a fait la course universitaire en 4 de pointe, à laquelle leur yolette est arrivée 2ème … de 2 yolettes ! J’étais la seule supporter !
En 1988, donc, nous avons acquis 3 ou 4 vieilles yolettes sadac (pelles en bois, colliers en cuir…) et Parenthèse (une barque en bois construite par Alain pour un rameur avec siège roulant, et barreur). Elle n’allait pas vite surtout quand un débutant essayait de ramer.
Mes premières sorties ont été difficiles : Nous faisions une fausse pelle tous les 5 à 10 coups, et nous revenions avec le dessus des mains en sang. Quand nous allions au Pont de Brotonne ou à la statue de Victor Hugo, nous étions ravis ! Heureusement, j’avais un grand plaisir à être sur l’eau, car l’aspect glisse était plutôt un peu brutal. Un rameur (Jean-Pierre) a atterri sur les genoux de celui qui était derrière lui… Notre 1ère grande sortie a été jusqu’à la petite cale de la Mailleraye, j’étais en 4 de pointe avec François N et sa fille Chloé !
Dans les années 90, nos enfants ados ramaient presque tous, c’était très familial. Les 3 nôtres (Guillaume, Etienne et Damien), ceux de François N (Chloé et Martin), les 2 filles de Daniel et Pascale (qui habitent près du club) et d’autres jeunes de Caudebec, puis les enfants de Martine et de Marie-Sylvie…
Mes plus beaux souvenirs de glisses d’aviron : le tour du golfe du Morbihan en plein courant et la première remontée Honfleur-Caudebec en partant de la plage d’Honfleur en moins de 3h par marée de 120… et aussi avec une « championne américaine » en stage d’arts au musée de Caudebec, qui m’a appris la glisse et la technique, et la transpiration !
François a adoré l’embarquement sur la plage d’Honfleur en début de marée montante (nous étions plus haut que la Seine, avec une cascade au rail entre la plage et la Seine), la bucolique descente de la Risle et les 4 ou 5 traversées de Paris.